A partir du 1er octobre, la Messe du dimanche soir aura lieu à 18h30
Messe en semaine : le vendredi, la messe du soir est désormais à 18 h 45.
Pour les confessions, un changement : Mercredi : 17 h 15 - 18 h 15
Nous commencerons début février la dévotion des 5 premiers samedis du mois, qui ‘achèveront le premier juin prochain, juste avant la fête du Sacré-Coeur, le 8 juin, et celle du Coeur immaculé de Marie, le 9 juin.
Chers amis, chers paroissiens,
En ces premières heures de l’an neuf, et baignant toujours dans la douce lumière pacifiante de Bethléem, il m’est
agréable de venir vous souhaiter une belle, heureuse et sainte année 2024 !
Beaucoup de souhaits seraient à formuler pour vous, vos familles, vos proches.
Cette année, dédiée au Sacré-Cœur de Jésus, offre l’opportunité de Le connaitre davantage, et d’entrer toujours plus dans
sa douce intimité. C’est en Lui que nous pouvons puiser les grâces nécessaires pour grandir dans l’Amour de Dieu, au-delà des péripéties de nos vies et des bouleversements de notre monde qui,
décidément, ne facilitent pas toujours notre marche vers l’Essentiel.
Avec et dans le Cœur Sacré de Jésus, nous pourrons vivre les mystères joyeux et douloureux, lumineux et glorieux que la
divine Providence nous ménagera tout au long des jours, des semaines et des mois à venir.
Quelques rendez-vous avec le Sacré-Coeur nous y aideront, avec toute la puissance du
ciel :
Selon la « grande promesse » de Jésus à sainte Marguerite
Marie Alacoque :
« Je te promets dans l’excessive miséricorde de mon Cœur, que son amour tout-puissant accordera à tous ceux qui
communieront les premiers vendredis du mois, neuf mois consécutifs, la grâce de la pénitence finale, ne mourant point dans ma disgrâce, ni sans recevoir les sacrements, mon divin Cœur se rendant
leur asile assuré à ce dernier moment. »
On peut toujours s’y joindre, même si l’on n’a pas pu le faire les derniers mois écoulés.
Nous vous en parlerons prochainement.
C’est une dévotion demandée par la Vierge Marie à Fatima à son Cœur
Immaculé, uni parfaitement au Sacré-Cœur de son Fils.
Pour nous, elle consistera, pendant 5 premiers samedis du mois consécutifs, à nous retrouver pour la messe, un repas
fraternel, un petit enseignement, 15 minutes de méditation et la récitation en commun d’un chapelet.
Le 10 décembre 1925, Marie apparaît avec l’Enfant-Jésus à ses côtés à Sœur Lucie, au couvent des sœurs Dorothées de
Pontevedra (en Espagne). Elle lui dit alors :
« Regarde, ma fille, mon cœur entouré d’épines que les hommes ingrats, à tout moment, lui enfoncent par des
blasphèmes et des ingratitudes. Toi, du moins, cherche à me consoler et dis que je promets d’assister à l’heure de la mort, avec toutes les grâces nécessaires au salut, tous ceux qui, le
Premier Samedi cinq mois de suite, se confesseront, recevront la Sainte communion, réciteront le chapelet et me tiendront compagnie pendant quinze minutes en méditant les 15 mystères du Rosaire
avec l’intention de me faire réparation ».
Que cette année du Sacré-Cœur vous comble abondamment de la Paix et de la Joie intérieures promises par
Lui.
Dans ses Dialogues, sainte Catherine de Sienne rapporte cette parole que Dieu lui adresse :
« J’ai voulu que le côté de mon Fils unique fût ouvert, pour te faire voir le secret du cœur. Je l’ai disposé, comme un asile toujours ouvert, où vous pourriez connaître et goûter l’Amour
ineffable que j’ai, en trouvant et en contemplant ma Nature divine unie à votre nature humaine. »
Puissions-nous y puiser largement : « il ne nous décevra pas ! »
Ainsi pourrons-nous apprendre ensemble à Lui rendre Amour pour Amour ! C’est mon vœu le plus cher pour
vous !
Soyez assurés de mon religieux dévouement et de mes prières ferventes, particulièrement à la messe pro populo célébrée
chaque dimanche pour tous les paroissiens du Sacré-Cœur, pour leurs familles, pour leurs défunts.
P. Henri de PENFENTENYO
Oblat de Saint-Vincent-de-Paul
Ce dimanche 11 juin, à l'occasion de la Solennité du Très Saint Sacrement, la procession de notre Sauveur dans l'Eucharistie est partie de Notre Dame pour arriver au Sacré-Coeur.
C’EST L’EUCHARISTIE QUI FAIT LES SAINTS !
Les Conférences de Carême sont des enseignements donnés en dehors de la Messe, souvent le soir, à l’occasion de l’Office des Vêpres. Elles sont traditionnellement données les cinq dimanches de Carême.
Ces Conférences trouvent leur origine au XIXe siècle à Paris avec le bienheureux Frédéric Ozanam, dont le père est originaire du département de l’Ain. La première Conférence sera donnée en 1835, à Notre-Dame de Paris par Lacordaire, talentueux prédicateur.
Les Conférences de Carême ont pour but de donner un enseignement sur les rapports de la religion avec la société contemporaine.
Cette année, la paroisse Notre-Dame de Bourg et la paroisse du Sacré-Cœur ont décidé d’organiser ensemble les cinq Conférences de Carême en développant le double thème de l’Eucharistie et de la sanctification des laïcs. Notre évêque, monseigneur Pascal Roland, ouvrira le cycle des Conférences. Le cardinal Robert Sarah nous fera l’honneur de nous donner un enseignement le dimanche 12 mars sur le thème de l’adoration eucharistique.
Trois belles figures de laïcs contemporains seront présentées par des intervenants de qualité les autres dimanches : Aude Dugast, Pascal Barthélemy, Père Jean-Baptiste Golfier.
Vous trouverez ci-dessous une brève présentation de ces laïcs exemplaires.
Professeur Jérôme Lejeune (1926-1994)
« L’intelligence d’un seul est un don pour tous »
Médecin, chercheur, généticien, Jérôme Lejeune a 32 ans lorsque, en 1959, il découvre que le « mongolisme », comme on l’appelle alors, est le résultat d’une aberration chromosomique. Il ouvre ainsi à la science des perspectives extraordinaires. Célèbre dans le monde entier, honoré des plus prestigieuses récompenses, premier titulaire de la chaire de génétique à la Faculté de médecine de Paris, le professeur Lejeune se trouve au début d’une carrière prestigieuse. Mais il renonce à cet avenir sans hésitation lorsque, en 1969, il comprend que ces travaux, dénaturés par d’autres, ne serviront pas à soigner les enfants trisomiques, mais à les supprimer avant qu’ils voient le jour. Indifférent aux brimades et aux menaces qui désormais feront partie intégrante de son existence, Jérôme Lejeune, soutenu par une foi inébranlable, se lance alors jusqu’à sa mort, le matin de Pâque 1994, dans un combat acharné en faveur de la vie.
Aude Dugast, philosophe de formation, est postulatrice de la cause de canonisation de Jérôme Lejeune, depuis 2012, au sein de l'Association des Amis du Professeur Lejeune. Elle était vice-postulatrice de l'enquête diocésaine, de 2007 à 2012. Elle nous présentera cet homme dont il se dégage une paix toute surnaturelle, fruit d’une grande unité de vie puisée dans le cœur de Dieu : unité entre la foi et la raison, unité entre ses paroles et ses actes…
Lieutenant-Colonel Arnaud Beltrame (1973-2018)
Héros ? Modèle ? Martyr ?
Le 23 mars 2018, un attentat a lieu dans un supermarché de Trèbes dans l’Aude. Une femme est retenue en otage par un terroriste musulman. Un officier de gendarmerie offre de prendre sa place. L’échange est accepté. La femme aura la vie sauve. Le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, lui, aura la gorge tranchée et mourra quelques heures après. Il allait se marier moins de 3 mois plus tard. Le don héroïque qu’il a fait de sa vie n’est pas le fruit d’un coup de tête mais l’aboutissement d’un itinéraire spirituel où la marque de Dieu est manifeste. L’homme vient de loin, et avec la grâce, cherche la vérité. Il combat ses défauts et trouve finalement la lumière. Lorsqu’il offre sa vie ce jour-là, « pour lui, le Ciel n’était pas loin. »
Le P. Jean-Baptiste Golfier, chanoine de l’abbaye de Lagrasse, le préparait au mariage et l’a assisté dans ses derniers instants. C’est lui qui nous présentera cet homme du devoir, aiguillé par la recherche de la vérité.
Anne-Gabrielle (2002-2010)
Elle naît le 29 janvier 2002 à Toulon.
Brune aux cheveux bouclés, aux yeux noirs et au sourire radieux. Sous ses dehors réservés, elle cache une âme entière, passionnée, généreuse.
En 2009, une biopsie révèle un sarcome d’Ewing, un cancer osseux très virulent. Elle accepte sa maladie, offre ses souffrances, d’abord pour les âmes du Purgatoire puis pour les pécheurs parce que, disait-elle, ils en ont davantage besoin que les premières. Ses soucis principaux étaient de ne pas être assez prête pour rencontrer Jésus quand Il la rappellerait à Lui ; et de ne pas peser sur ses parents par les soins de plus en plus lourds que nécessitait la dégradation de sa santé.
Son amour de l’Eucharistie, sa dévotion mariale, sa confiance en Dieu, son attention aux autres, son refus de se plaindre, ont été des marques très perceptibles de l’action de la grâce dans son âme.
Un soir de grande souffrance, elle confie : « Le Bon Dieu en fait beaucoup pour moi ! C’est quand même beaucoup. Mais je veux bien l’accepter. Je vous aime mon Dieu »
Après trente heures d’agonie, elle rend son âme à Dieu à 23h50, le vendredi 23 juillet 2010.
Pascal Barthélemy est père de famille de 7 enfants, ayant exercé des responsabilités dans l’industrie et une société de conseil qu’il a créée.
Il est postulateur de la cause de béatification d’Anne-Gabrielle depuis 2019.
Du lundi 30 janvier au dimanche 5 février
Chaque jour sera organisée une veillée de prières en présence de la relique, avec Messe, vêpres, conférence spirituelle, temps de vénération. Nous pourrons alors lui confier toutes les intentions que nous portons dans nos coeurs.
Réservez dès à présent vos soirées (de 18h à 21h).
Les thèmes de chaque journée sont les suivants:
Lundi 30 janvier / Le Saint curé d'Ars / Mgr Bagnard
Mardi 31 janvier / l'Eucharistie / P. Christian Josselin
Mercredi 1 février / la famille / P. Thierry Blot
Jeudi 2 février / le sacerdoce / P. Jean-Maxime Bertrand
Vendredi 3 février / la pénitence / P. Xavier Piron
Samedi 4 février / les pauvres / P. Fabrice Letellier
Dimanche 5 février / l'évangélisation / P. Henri de Penfentenyo